je m'approchais près de Sarah, et regardais le paysage silencieusement. je ne disais mot, de peur de briser ce moment de détente. Il faisait chaud, mais une douce brise venait froller ma peau nue, car je n'étais vétue que d'un mayo de bain deux pièces, et seules mes cuisses étaient couverte par le tissu d'un fin paré haut. Je m'alongais dans l'herbe, et après quelques minutes de silence total, je chuchotais:
"ce qu'on est bien ici, on se croirait au paradis!"